La douceur d’une rencontre

La Tour de Diesse à Neuchâtel, au bord du lac du même nom, avec son quadruple cadran rouge et or.

Chers amis,

Chers internautes,

L’heure avance et en cette fin d’année, chacun fait un bilan, peut-être bien plus approfondi que celui des mois de décembre précédents. Les défis liés au Covid-19 ont marqué notre société avec un impact plus ou moins important sur nos existences, allant de la solitude que ressentent bien des gens à la tristesse suite à la perte d’êtres chers, ou encore à des difficultés économiques. Chacun d’entre nous est une personne bien distincte qui affronte les difficultés de façon différente. Si nous haïssons le mal, et la pandémie en fait partie, nous pouvons cependant souhaiter, et même avoir l’assurance que celle-ci, avec ses vents contraires, tournera cependant en notre faveur en 2021, dans nos vies et celles de tous ceux que nous avons à cœur. Car il est possible de retirer des enseignements en toutes occasions.

Je ne vais pas m’étendre sur un sujet déjà traité tous azimuts, car j’ai pour but de vous écrire un message court, mais rempli de toute mon affection. « La douceur », invisible à l’œil nu, est tout aussi réelle que « les douceurs » qui sont partagées.

Petits biscuits confectionnés par ma fille

Ces derniers mois, je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer, avec des projets plein la tête, mais aussi avec des balades et de belles rencontres, malgré la pandémie. Par respect vis-à-vis des autres, si garder une distance physique est important, cela ne doit pas nous empêcher d’ouvrir la bouche et de communiquer avec ceux que l’on croise. Et si on porte un masque, rien ne nous empêche de nous adonner à l’art de la diction qui consiste à bien articuler. Cet effort est à la portée de tous. En ce qui me concerne, je parle avec des inconnus au quotidien. Parfois, il y a même des sièges publics qui encouragent le partage, comme ceux de ma photo. Pourtant, ils n’ont pas été installés pour la pandémie.

Les distances sont gardées sur les sièges de Coppet.

Nous avons tous besoin de communiquer, même les plus introvertis parmi nous. La langue est un trésor quand on l’utilise à bon escient. Le dialogue nous permet de découvrir ensemble des ébauches de solutions à nos défis, tout en étant bon pour le moral quand la discussion « regonfle », parce que nous avons osé un sourire qui a débouché sur un accueil chaleureux.

La solitude peut peser, ici dans le joli jardin fleuri du cloître de la collégiale à Neuchâtel, ou ailleurs. Pourtant, nous ne sommes pas seuls…

Je vous souhaite un Joyeux Noël et des fêtes de fin d’année dans la paix, en faisant la nique à la pandémie, car garder ses distances ou porter un masque, en attendant mieux, ce n’est pas la fin du monde.

Un petit sapin de saison et d’autres choses, à l’intention d’une personne qui m’est chère afin de rendre son lieu de vie festif.

Avec mes meilleures pensées à tous ceux qui liront cet article.

Bonjour,

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